Mon nom de famille, c'est Driomov
Et je me nomme Bogdan
Même si parfois, vous entendrez un ou deux malins s'amuser à m’appeler Boban, Bug, P'tite tête ou Michka

Si vous voulez tout savoir, j'ai 21 ans (11/09/1990)
D'un point de vue physique, je fais 1m88 et 80kg.
Je suis passionné(e) par la nature, les animaux et le violon Mais d'un autre côté, je dois avouer que j'ai une peur bleue du dentiste, des espaces clos, de la cruauté, des vagues, des bananes vertes, du monstre qui se cache certainement encore sous mon lit.
Je suisCélibataire
J'ai également 2 soeurs. Quant à mes parents, je ne les connais pas. Enfin, ceux qui m'ont mis au monde. J'ai été abandonné à ce qu'il paraîtrait et ce en bonne et due forme. Vous imaginez? On signe un papier et notre enfant n'est plus qu'un orphelin. Il semblerait que ce serait pour lui donner la chance d'une vie meilleure... Mais faut dire que j'ai eu de la chance, j'ai su trouver une vraie famille dans l'adoption.
Pour finir, je peux vous dire que j'étudie dans le domaine des Sciences de l'agriculture et de l'environnement option que j'ai choisie un peu au hasard. L'intitulé me plaisait bien.

J'ai connu McGill ... Par ma soeur, Katerina, qui est venue y étudier.Et j'ai décidé de m'y inscrire parce que ... Je voulais suivre mes deux soeurs, surtout Katerina, pour qui j'éprouve un attachement amoureux, plutôt malsain. Pourtant, je ne l'intéresse même pas.

Et finalement, j'aimerais faire ou je fais déjà partie des Soaring Doves.

« « Une origine est toujours la fille d'une origine plus ancienne. » Et moi, d'où est-ce que je viens ? Depuis que j'ai appris qu'il existait quelque part une femme qui m'avait abandonné, alors que je n'étais qu'un petit nourrisson, je me pose souvent la question. Ma sœur, Mila, elle aussi adoptée, semble se faire plus facilement à l'idée que ses origines lui resteront à tout jamais inconnues. Quant à moi, cela me pèse. Pourtant, jamais je n'ai souffert de vivre au sein de la prestigieuse famille Driomov. Bien au contraire. J'ai toujours eu ce que je voulais, j'ai rencontré la meilleure des chances et j'ai su trouver un amour fraternel et inconditionnel que je n'aurais peut-être jamais connu ailleurs. Un père ayant fait richesse dans le domaine de la pâtisserie et une mère chercheuse. Deux cerveaux qui ont souhaité m'offrir la meilleure des éducations. Adopté à l'âge de deux ans, je ne me souviens absolument pas de ce qui est advenu avant mon arrivée à la maison, mais je l'imagine souvent. Parfois, je rêve de choses étranges, d'ombres, de danses et de chants, comme si tout cela n'était qu'une berceuse qui me liait à un inconnu omniprésent. » Chapitre 1, le Big Bang.

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« C'est lorsque je l'ai vue en cette fraîche soirée d'automne, vêtue dans une belle robe rouge, prête à se rendre à une soirée, que j'ai compris ce que je ressentais pour elle. Je n'avais que douze ans, mais j'ai tout de suite su tout de suite ce qu'elle représentait à mes yeux. Je l'aime, je l'adore. J'ai sans cesse la sensation de lui être indifférent, mais je tiens tellement à ce qu'elle me remarque. Ma sœur adoptive, Katerina est comme un soleil d'été, soleil qui me manque chaque fois qu'il vient à se coucher. Mais, je le sens, elle n'a d'yeux que pour cet imbécile de Vadim. Je déteste lorsqu'il lui fait du mal. Il ne comprend vraiment pas sa chance de la connaître et de pouvoir partager tant de temps avec elle. J'aimerais qu'elle passe le quart de ce temps à mes côtés, mais je ne suis que son petit frère, son stupide petit frère sans cesse plongé dans les bouquins de botanique ou à se promener dans la nature. Mon Seigneur, si vous existez, faîtes qu'il n'arrive jamais que du bien à Katerina, ensevelissez-moi de peine et de douleurs si vous le voulez, mais bénissez-la. » Chapitre 2, l'enfance et l'amour.

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« J'aime étudier. J'adore apprendre. Je préfère largement passer mon temps à lire que de le perdre dans des soirées de débauche. De toute manière, mon traitement antiépileptique m'empêche de boire de l'alcool, ne serait-ce qu'une simple goutte. J'ai de la chance, il a fait très beau aujourd'hui, j'ai pu observer pas mal de spécimens différents. Je ne comprends pas pourquoi mon père s'énerve de me voir errer en-dehors des villes et des boulevards. J'ai mon argent de poche, je l'utilise comme je le désire. Je ne suis pas irresponsable, je sais m'occuper de mes compagnons à quatre pattes, combien même j'en hébergerais des dizaines. Après tout, ce n'est que pour les aider. C'est également mon choix de « perdre mon temps » dans différentes associations de protection de l'environnement ou de solidarité. » Chapitre 3, l'adolescence âge de raison.

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« Lorsque j'ai vu cette montre à son poignet, je n'ai eu qu'une envie, la lui ôter. Je ne connaissais pas ce jeune homme, mais je n'avais qu'une idée en tête : lui voler cet objet. Elle n'était pas belle, elle n'avait rien d'extraordinaire, mais l'excitation était trop grande. Me voilà aujourd'hui avec une collection de montres et de porte-monnaie. Mon père m'a envoyé chez le psychologue, il paraît que cela m'est indispensable. Pourtant, je ne vois rien d'anormal dans mes actes, je n'en ai même pas honte. Ma mère dit que je ne fais jamais que des bêtises, et elle maudit le ciel de lui avoir envoyé un fils pareil. Je n'aime pas ses paroles, j'ai l'impression d'être le vilain petit canard de la famille. » Chapitre 4, l'adolescence, âge bête.

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« J'ai été pris la main dans le sac. Mon père est venu me chercher au commissariat. Depuis, j'ai arrêté de voler. Je n'en ressens même plus l'envie. » Chapitre 5, l'adolescence, âge de raison.

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« Aujourd'hui, j'ai l'impression que cela fait une éternité que Katia est parti au Québec. Je sais que c'était simplement pour rester auprès de Vadim. Mais Milka a trouvé la solution. On va les rejoindre ! D'ici quelques jours, nous serons au Québec, prêts à démarrer une année à McGill. Cela valait le coup d'étudier. Cependant, pas question de laisser derrière moi mon chien, sublime berger allemand et fidèle ami. Et en aucun cas, je ne me permettrais d'abandonner mon rat non plus. Il est encore tout petit ! » Chapitre 6, le départ d'un adulte.

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« Cette maison est immense, pourtant mes sœurs ne veulent pas que j'empiète dans leurs chambres. Elles ont même hurlé la dernière fois lorsque Darwin est monté dans leur lit ! Pourtant elles devraient savoir que c'est une animal très propre, je lui ai même appris des tours ! Je ne comprendrais décidément jamais Mila et Katerina. Mais heureusement, Milka est plutôt compréhensive. Elle m'avait même offert un lapin nain lorsque j'avais quinze ans. Le fait que nous soyons tous deux adoptés doit jouer un rôle important dans nos relations. »