Mon nom de famille, c'est Princeton
Et je me nomme James Edward
Même si parfois, vous entendrez un ou deux malins s'amuser à m’appeler Jamie ou Ed

Si vous voulez tout savoir, j'ai vingt ans (+ 6/06/1992)
D'un point de vue physique, je fais 1m80 et 70 kilos.
Je suis passionné(e) par la musique Mais d'un autre côté, je dois avouer que j'ai une peur bleue du feu.
Je suis Célibataire.
J'ai également 2 frères et 1 soeur. Quant à mes parents, je n'en ai plus, ils sont morts en même temps que mes frères et ma soeur.
Pour finir, je peux vous dire que j'étudie dans le domaine de Arts et Lettres (Musique) option que j'ai choisie.

J'ai connu McGill ... totalement par hasard, j'en ai entendu parlé.
Et j'ai décidé de m'y inscrire parce que ... c'est une université avec une bonne renommée.

Et finalement, j'aimerais faire ou je fais déjà partie des Mcgill's students. Car aucun des autres groupes ne me correspond, et ce groupe laisse plus de libertés et choix.

Ah, le moment de raconter son histoire. Pas le meilleur moment pour moi mais bon comme on dit "quand faut y aller, faut y aller".
Je suis né à Londres, magnifique ville d'Angleterre. J'y ai vécu 2 ans, mes parents me disaient qu'ils bougeaient tout le temps. Vous êtes un peu obligés de vivre à cent à l'heure lorsque vous vivez dans une ville comme celle du Big Ben. Mes parents ça leur allait, jusqu'à ce qu'ils eurent mes frères jumeaux. Un enfant de deux ans sur les bras, plus des jumeaux de quelques mois c'était un peu trop pour leur vie. C'est pourquoi ils déménagèrent aux Etats-Unis, le pays rêvé pour moi. Nous nous trouvions dans une petite ville tranquille en Texas. C'est le genre de ville pas trop petite pour accueillir tout ce qu'il faut pour être indépendant, mais pas trop grande pour être tranquille et éviter la pollution et autres désagréments liés aux villes. Je m'y plaisais bien là-bas, j'ai appris à grandir dans cet univers qui me convenait, j'avais tissé des liens avec un bon nombre de personnes là-bas. Dès mon arrivée là-bas j'avais un petit groupe d'ami que je gardais très très longtemps. J'étais le rigolo du groupe, toujours à vouloir faire rire, à rigoler et à avoir la joie de vivre. J'aimais réconforter mes amis, leur faire retrouver le sourire. La tristesse, je détestais ça.
Je me faisais remarquer, car il y a avait Eleanor. Eleanor c'était LA fille qui faisait vraiment battre mon coeur, qui me faisait sourire encore plus que d'habitude, qui me faisait pétiller les yeux. Bon, je lui avais avoué mes sentiments et il s'était avéré que ce n'était pas réciproque. Pour l'oublier, j'avais jeté mon dévolu sur une autre jolie fille (je sais ce n'est pas bien), Leah, au début ça a marché. Nous étions bien tous les deux, mais Eleanor s'est rapproché de moi, m'a fait comprendre qu'elle avait des sentiments. Maintenant qu'elle ne pouvait pas m'avoir, elle me voulait soudainement. (Taken 8P). Et moi amoureux et débile que j'étais, je laissais Leah dans l'espoir d'aller dans une relation avec Eleanor. Malheureusement, celle-ci jouait seulement avec moi. En fait, elle ne me voulait pas vraiment, elle aimait juste savoir qu'elle pouvait avoir mon cœur à n'importe quel moment. J'avais mal d'avoir le coeur brisé, mais aussi d'avoir brisé le coeur d'une personne qui ne le méritait pas. Je m'étais servi d'elle pour au final la "détruire". Je n'avais alors que 15 ans, mais c'était décidé, je ne voulais plus rien avoir à faire avec l'amour.
J'appelais cela le premier drame de ma vie, mais j'étais loin de me douter que le vrai drame se passerait deux ans plus tard. En effet, quelques jours après mes 17 ans, j'étais sorti voir Eleanor qui voulait qu'on discute, encore une fois ça n'avait abouti à rien et j'avais perdu une après-midi pour rien. Mais je gardais le sourire, et la bonne humeur comme toujours. Et alors que j'arrivais chez moi, de nombreuses personnes se pressaient autour de ma maison. Enfin si je pouvais encore appeler ça une maison. C'était juste un champ de ruine, cramé. Il ne restait plus rien, mis à part de nombreux bouts noirs éparpillés un peu partout. Je courais en criant vers les pompiers, les larmes roulant sur mes joues, leur demandant des informations sur mes parents, mes frères et ma soeur (qui était née quelques mois auparavant). Au vu de leur visage je sentais que c'était grave. Mais je ne pensais pas les avoir perdu les quatre en même temps. Sans cette Eleanor, j'aurais été avec eux, j'aurai été avec ma famille. A ce moment là, plus rien n'existait pour moi. J'aurais voulu être dans cet incendie, je devais être avec eux !
Je ne pouvais pas nier qu'ils étaient morts, car je me retrouvais seul, je n'avais plus personne. Surtout qu'on voulait me mettre avec mes grands -parents. Mais je ne voulais pas, voilà pourquoi je pris mes cliques et mes claques c'est à dire plus grand chose) et partit loin d'où j'habitais. Je fuyais les gens qui voulaient me mettre en foyer, chez ma "famille". Avec mes propres moyens je décidai de m'installer à Montréal et d'y commencer une nouvelle vie. James, joyeux, de bonne humeur ayant la joie de vivre était mort, place à Edward, le jeune homme mystérieux, renfermé et fêtard.
HERE I AM !