Mon nom de famille, c'est Kennedy
Et je me nomme Clémence Louise-Jane
Même si parfois, vous entendrez un ou deux malins s'amuser à m’appeler Lou, L-J, Clém', Ken' ...

Si vous voulez tout savoir, j'ai 22 ans, (née le 20 janvier 1990)
D'un point de vue physique, je fais 1m57 et50 kg.
Je suis passionné(e) par la nature. Je passerais des heures sur mon vélo ou à faire de la randonnée pour croiser un petit lapin ou même un jolie papillon (beaucoup me prenne pour une timbré, mais je suis une passionnée, que voulez vous). Autrement, mon autre passion est le football US. Oui, un peu garçon manqué. Mais surtout, admirative de l'équipe de Montréal, maladie transmise par mon meilleur ami. Mais disons que si lui regarde les matchs pour le score, moi c'est plutôt pour les beaux garçons qui sont sur le terrain^^. Bon sinon, je reste quand même une fille est j'aime bien aller shoppinger. Mais de manière écolo. Pas de sac plastique en pagaille, j'amène toujours mon petit sac recyclable. Mais d'un autre côté, je dois avouer que j'ai une peur bleuedes petits espaces et des orages.
Je suis Célibataire
J'ai également Aucun frères et soeurs. Quant à mes parents, je n'ai jamais eu de réels conflits avec eux. Disons qu'ils m'ont donné une bonne éducation et que je n'ai jamais manqué de rien. Les seuls conflits que j'ai avec eux est au sujet de mes études. En fait, mes parents sont tout deux architectes et ils auraient aimé que je suive leur voie. Surtout mon père. Du coup, même s'ils trouvent que des études de droit, c'est honorable, cela les a un peu blessé. Ils comptaient en quelque sorte sur moi pour reprendre l'entreprise familiale plus tard. Mais c'est rapidement passé et disons qu'ils n'avaient rien à me reprocher et puis, au vue de mon caractère, ils savaient pertinemment que je ne risquais pas de changer d'avis. Mes rapports avec mes parents sont donc posés, pas de conflits en vue. Je les voie pas énormément mais c'est toujours un plaisir de retourner dans mon cocon familial de temps en temps.
Pour finir, je peux vous dire que j'étudie dans le domaine de Sciences humaines, Droit que j'ai choisie.

J'ai connu McGill ... Parce que c'est l'université où mes parents ont étudié eux même. Et puis, je n'ai jamais voulu quitté Montréal, ma ville natale. J'avais l'intention d'y aller avec mes amis les plus proches et ça n'a pas changé. Les grandes universités style Havard, Yale et compagnie ne m'intéresse pas. Et j'ai décidé de m'y inscrire parce que ... le programme proposé par la faculté me plaisait. Et puis, comme je vous l'ai dit plus haut, c'était cette université et pas une autre. Il était hors de question pour moi d'arrêter mes études après le lycée. Je voulais devenir une avocate dans l'environnement, défenderesse de la faune et de la flore, rien d'autre!

Et finalement, je fais déjà partie des soaring doves. Pourtant, lors de ma première année, j'avais bêtement intégré le groupe des pretty sirens. mais ce monde superficiel n'était pas fait pour moi. Et puis, la maison des Pretty Sirens m'étaient insupportables. D'ailleurs, je m'entendais avec très peu de fille qui faisait partie du groupe. J'avais énormément d'amis dans le groupe des Soaring Doves, mon choix fut donc rapidement fait à la fin de ma première année.

J'avais 1 minute... : La naissance d'un petit être
« C’est une petite fille ». Des parents émerveillaient, heureux. Rien n’aurait pu briser cet instant de bonheur. Leurs yeux ne cessaient de fixer le petit bout de chou qui venait à l’instant de naitre. La mère, Angelica, la serrait tout contre elle, lui câlinant délicatement sa petite main « Comment veux-tu l’appeler alors ? » « Je n’en sais rien encore, elle est tellement belle… Je suis obnubilée ». Lucas regardait sa femme avec des yeux attendrissant puis reposait ceux-ci quelques secondes après sur sa petite fille. Il n’en revenait pas. Deux ans jour pour jour après leur mariage, leur bébé était né. Un instant de pur bonheur.

J'avais 1 semaine : La fille sans nom
Et toujours pas de prénom. Angelica racontait souvent à sa fille que les sages femmes l’appelaient, en attendant, Mademoiselle Kennedy ou Louloute. D’ailleurs, beaucoup de personnes de sa famille continue à la taquiner à ce sujet, tout comme ses amis, pour l’embêter « celle qui s’appelait pas pendant une semaine » disent-ils. Finalement, ses parents se sont enfin décidé à lui trouver un prénom, enfin, trois pour être exact «Clémence Louise-Jane Kennedy » « Et bien dis donc, vous avez mis du temps à lui trouver un prénom mais l’attente en valait la peine. Trois prénoms, vous la gâtez !».

J'avais 6 ans : L'amie des araignées

« AHHHHHHH !!! » « Quoi quoi quoi ?» « Regarde l’araignée là bas ! J’ai peur, appelle ta maman qu’elle vienne la tuer !» « CA NE VA PAS ! Elle ne va te faire aucun mal. Regarde» . Une petite brunette de six ans se dirigeait vers une petite araignée qui rampait le long du mur de sa chambre. Elle se baissait délicatement pour la prendre au creux de sa main et se redirigeais en direction de sa copine d’enfance «Elle est toute petite, regarde elle ne fait rien de mal» « AHHHH !!!! VA-T’EN !». Et une petite fille se mit à courir en direction de la porte de la chambre de Clémence, pour s’enfuir d’une toute petite bête innocente.

J'avais 8 ans : La future avocate des mouches
«J’appelle Conan à la barre !» « Je promet de dire toute la vérité que la vérité ! » « Alors Conan, vous dites que vous avez tué accidentellement cette mouche ce matin. Pouvez vous nous expliquer comment cela est arrivé ». « Je mangeais tranquillement mon petit déjeuné et puis, cette mouche est venue se poser sur mon bol de céréales. J’ai eu peur et, la tapette à mouche étant à côté de moi, j’ai eu comme seul réflexe de lui taper dessus » « QUEL HONTE ! C’était volontaire, comment on peut avoir peur d’une mouche ! » « J’ai cassé mon bol de céréales aussi, on va me faire un procès pour ça aussi? ». Clémence jouait à la juge. Elle adorait ça. Depuis toute petite, elle défendait corps et âme les petites bêtes, que ce soit des insectes ou des chats, des chiens, etc. Et puis, traumatisez lorsqu’elle est partit chasser avec son grand père un dimanche matin, elle lui avait dit ses mots « Tu es méchant, je ne t’aime plus ! Tu fais du mal aux bêtes ! Je vais le dire à la police, tu iras en prison » « Mais enfin, chérie, il n’y aucun mal, et la police ne va pas m’arrêter pour ça … » « Pour ça ? Tu aimerais qu’on te fasse pareil toi ? Je m’en fiche, plus tard, je défendrais les animaux et je mettrais des types comme toi derrière les barreaux » . Quel caractère ! N’empêche que cela n’était pas juste un rêve de gosse. Mais bel et bien ce qu’elle voulait faire « quand je serai plus grande », disait-elle.

J'avais 18 ans : le commencement d’une nouvelle vie
« Mademoiselle Kennedy ». Un tonnerre d’applaudissement s’élevait de la foule. Une foule composait de parents, tous émus aux larmes en voyant leurs enfants être enfin diplômés. Clémence recevait ce jour là les clés de son avenir. Elle qui avait tant rêvé de ce moment. Elle s’était donnée corps et âme dans ses révisions pour avoir les meilleures notes possibles et suivre la voie qu’elle avait toujours voulu suivre : le droit. Et surtout, elle voulait tant être prise à l’université de Montréal, sa ville natale. C’est en rentrant à la maison après la remise des diplômes, et avant qu’elle aille fêter cela dignement avec ses amis, que ses parents lui tendirent l’enveloppe qu’elle attendait depuis des semaines « Qu’est-ce que c’est ? » « C’est une lettre de McGill. On doit t’avouer que cela fait une semaine qu’elle est arrivée mais, notre côté un peu sadique sûrement, on a préféré ne pas te la donner tout de suite » « Vraiment sadique ouais ! ». La jeune brunette n’en voulu guère à ses parents et s’empressait de décacheter l’enveloppe qu’elle tenait entre les mains. Ses mains tremblaient, elle avait les jambes qui flanchaient et la boule au ventre. Un vrai moment de stress « Mademoiselle Kennedy, nous avons le plaisir de vous annoncer que VOUS ETES ADMISES A MCGILL ! AHHHH!! » Heureuse, la jeune femme se précipitait dans les bras de ses parents, autant heureux qu’elle.

J’avais toujours 18 ans : la première année à la fac
La fac. Quand on est au lycée, on se dit que ça va être cool, que sans les parents on est libre, on fait ce qu’on veut, on peut même sécher les cours ! Et c’est bien vrai. Beaucoup de tentation. Mais c’est ce qui permet de voir qui est le meilleur. Clémence en faisait partit. Disons que sa détermination l’incitait à se rendre à tous les cours (ou presque), de ne pas trop sortir en semaine (mais à sortie tous les weeks end) et de se rendre de temps en temps à la bibliothèque pour réviser. Evidemment, ce fut difficile pour elle, comme tout le monde, il faut un temps d’adaptation. Heureusement, elle avait un groupe d’ami qui lui permettait de la remettre sur le droit chemin quand elle avait tendance à « oublier » qu’elle avait cours.

McGill était une université très réputée mais aussi connu pour ses confréries. Et valait mieux être dans l’une d’elle, ça faisait toujours bien. C’est ce que fit Clém’, elle en choisit une : Pretty Sirens. Elle a suivi une copine à elle et puis, à ce qui parait, les filles qui en faisaient partit avaient de nombreux avantages et surtout, attirer tous les regards et surtout des plus beaux garçons de la fac. Voilà les motivations de l’entrée de Clémence dans ce groupe. Oui, les Pretty Sirens c’était bien, mais ça avait aussi ses inconvénients « Sois belle et tais-toi ». En gros, soit une pintade, rigole pour un rien, passe ton temps dans les toilettes à te maquiller et à te recoiffer, ne parle pas à telles personnes ! Rrrrr, il en falait peu pour que ces pretty Sirens finissent par taper sur les nerfs de la jolie brunette. Mais je vous raconterez ça plus tard.

J’avais 19 ans : le jour où j’ai rencontré le mec le plus idiot au monde et qui me sers de meilleur ami à présent
C’était sa première soirée étudiante. Clémence ne connaissait pas grand monde encore. Elle s’installait au bar pour commander une bière (un truc pas trop fort pour commencer) et fut rapidement rejoint par un mec plutôt canon (enfin ça c’était avant, comme dit la pub). Immédiatement, la conversation s’engagea « Salut, Lucas » « Clémence, enchanté ». Une poignée de main. Ouais carrément. « Tu es nouvelle ici ? » « Ouep et toi ? » « Ben, pas vraiment. En fait, j’ai fait une année déjà mais disons que je me suis un peu planté de voie donc je retape. » Ils continuèrent à discuter un long moment. Puis, après une petite conversation sérieuse, ils se sentirent rapidement à l’aise l’un avec l’autre « Bon sérieux, je t’aurai bien dit qu’on aille danser mais je suis une vraie merde » « Ca m’arrange, je suis plus nulle que toi je crois, on ne peut pas faire pire » « On pari ? » Lui tapant dans la main, Clémence se leva et allait en compagnie de son nouvel ami sur la piste de danse. Ils s’amusèrent tout deux à faire la pire danse qu’il soit pour gagner l’autre. En tout cas, ces deux là avouent sans mal que c’était sûrement l’une de leurs meilleures soirées à la fac. La soirée continua autour d’une bière puis quelques verres de vodka pure où ils s’envoyèrent des vannes ou encore se fichaient de la tête de certaines personnes présentent à la soirée.

Désormais, ils sont inséparables. Ils n’avoueront jamais qu’ils s’adorent mais ils passent au moins deux soirées ensemble par semaine. Et quand ils ne se voient pas, ils se téléphonent dès qu’ils ont un truc, même inutile à se dire « mon devoir de droit des contrats me gavent ! » « Ouais et alors ? » « Ben rien de plus ! » « Yep ok ben à demain alors ». Quand ils se voient, ils se font toujours des petites soirées match de football devant la télé, bière et pop corn ou pizza, ou encore des petites sorties ciné, ou même voir des matchs en vrai. Ils vont pratiquement à toutes les soirées ensemble ou vont boire tout simplement un verre après les cours. Leur amitié est resté intacte, bien qu’ils se disputent de temps à autre, mais toujours pour des broutilles. L'un l'autre sont devenus meilleurs amis. Ils se confient tout : leur relation d'un soir, leur coup de foudre, leur emmerdes. Leur amitié peut en surprendre plus d'un qui pourrait penser qu'il y a plus entre ces deux là. Mais il n'en ai rien. Ils sont "potes" comme ils disent! C’est tout.

J’avais 19 ans et des brouettes : allez vous faire voir!
Les pretty Sirens. Ce groupe tapait sur les nerfs. Clémence y était depuis un an et elle n’en pouvait plus « les filles rassemblement à 18h » (à faire avec une voie de pimbêches), « les filles, ce soir c’est … Pyjama party !!! ». Raaa, Clémence saturait et au début de sa deuxième année à McGill, sa décision fut rapidement prise « Clém ta chambre c’est la numéro…. » « Je m’en tape, je ne suis pas venue pour m’installer mais pour te dire que toi et ta bande de copines vous me verrez plus dans les parages ! Salut » « Quoi ? Tu nous quittes ? Pourquoi ? » « En partit pour ça, ton hypocrisie. Faire semblant de m’apprécier alors que je sais très bien que tu parles dès que j’ai le dos tourné, tout comme tu le fais avec ta soit disant meilleure amie à côté de toi ! Et puis vos manières de fille à papa, qui ont tout pour elle, je sature. Je me casse. Point final ! ». Ce jour là, Clémence quittait définitivement le groupe des Pretty Sirens.

J'ai 22 ans et toutes mes dents (pour l'instant)
Clémence entame sa quatrième année à McGill. Elle s’approche de plus en plus de son but de devenir une brillante avocate de l’environnement. En attendant, elle s’est engagée dans une association étudiante pour la défense de l’environnement et fait partie désormais, depuis qu’elle a quitté le groupe des Sirens, des Soaring Doves. Ces gens là lui ressemblent davantage et elle regrette d’avoir fait le mauvais choix lors de sa première année. Elle est beaucoup investie dans cette confrérie et défend haut et fort l’appartenance à son groupe, bien que ce ne soit pas le plus appréciée sur le campus.