Mon nom de famille, c'est Donovan
Et je me nomme Anaïs Blueberry
Même si parfois, vous entendrez un ou deux malins s'amuser à m’appeler Ana ou Blue

Si vous voulez tout savoir, j'ai 21 ans (27 avril)
D'un point de vue physique, je fais 5 pieds 5 et 110 livres
Je suis passionné(e) par l'écriture, la lecture, les arts en général. J'adore aussi les sciences et si je n'étais pas aussi belle, on pourrait penser que je suis un rat de bibliothèque Mais d'un autre côté, je dois avouer que j'ai une peur bleue de me retrouver toute seule sans amis et des requins et gros insectes en général.
Je suiscélibataire
J'ai également un frère et 0 soeur. Quant à mes parents, je m'entend bien avec eux. Je suis leur petite fille chérie, leur protéger. Ils me comblent d'amour et... d'argent.
Pour finir, je peux vous dire que j'étudie dans le domaine desciences appliquées, option mathématique que j'ai choisie de faire.

J'ai connu McGill ... parce que mon père avait à coeur que je m'y inscrive. Il voulait que je vois la diversité qu'elle pouvait offrir.Et j'ai décidé de m'y inscrire parce que ... j'ai réalisé que les arguments de mon père étaient plus que crédibles. Je ne m'y suis pas inscrite par obligation.

Et finalement, j'aimerais faire ou je fais déjà partie des pretty sirens. Je voudrais en faire partie, puis que je suis une fille qui correspond à leurs critères. Je suis brillante et gentille. Je me soucis de mon apparence tout en étant fidèle à la mode. Cela ne me pose pas problème de ne manger que de la salade... Je suis végétarienne et fière de l'être.

Je suis née en banlieue de Montréal, plus spécifiquement à Laval il y a de cela 21 ans. Mon père, un américain, était marié à ma mère depuis quelques années déjà. Cela faisait quelques temps qu'ils essayaient de m'avoir, alors que de bonheur en voyant ma petite tête rousse pointer le bout de son nez. Anne, ma mère était cuisinière dans un restaurant chic de Montréal et mon père, un architecte réputé qui avait commencé sa carrière à New York, sa ville natale. Ce dernier, travaillant à partir de la maison, était celui qui s'occupait le plus souvent de moi.

J'étais une petite fille gâtée par ses parents et par la nature. En effet, je faisais tourner toutes les têtes en allant au parc ou en étant dans les rues. Et même si on avait tendance à me donner tout ce que je désirais, j'étais plutôt généreuse avec les autres. Je partageais mes jouets et je ne faisais jamais de crises. Bref, j'étais une enfant calme et mes parents l'appréciaient beaucoup. Deux ans plus tard, j'eus la chance d'avoir un petit frère, Charly. Il était roux comme moi, mais beaucoup moins calme. On finit par se détacher de moi et on commença à lui donner plus d'attention, puisqu'il était un petit diable et moi, un ange.

Je commençai donc à me dépasser à la petite école. Je voulais à tout prix impressionner mes parents. Mais ça ne fonctionnait pas toujours. J'étais brillante comme élève, même si les bricolages, ça ne comptait pas vraiment... Lorsque je suis arrivée au primaire, et ensuite au secondaire, mes professeurs virent un grand potentiel en moi et en parlèrent à mes parents. Ils étaient impressionnés et n'eurent pas d'autres choix que de reporter leur attention sur moi.

J'excellai en mathématique et en sciences tout comme en arts et en littératures. Mais ce qui m'intéressait vraiment, c'était les mathématiques. Le médecin m'a vite diagnostiqué un Q.I. plus élevé que la normale. À croire que j'étais surdouée.

Au secondaire, je me trouvai d'autres qualités comme le fait que j'étais née pour être une leadeur. Je participais à tous les clubs, que ce soit celui d'échecs ou le cercle restreint des cheerleardeurs. Même si j'adorais tout cela, ça m'épuisait aussi. Mes parents voulaient que je me calme avec les activités parascolaires. Ils avaient peur que je finisse en dépression ou pire, en burnout. Mais ça n'est pas arrivé, pas encore. C'est pour cela que j'ai un cercle restreint d'amis qui me soutiennent à 100%. Je ne m'entourais que des meilleurs et j'étais la fille la plus populaire.

J'allai ensuite au cégep en sciences humaines profil mathématique. J'eus la meilleure cote R avec les meilleures mentions. J'avais le choix d'aller dans toutes les universités. Avec le dossier que j'avais, tout le monde me voulait. Mais mon père avait comme rêve que j'intègre l'université McGill pour que je renoue quelque peu avec mes origines. Je n'ai pas dit non et c'est donc à l'âge de 19 ans que je l'ai intégré en sciences appliquées profil mathématique.

C'est plus difficile que je le croyais de me tailler une place, mais peu à peu, j'y arrive. J'ai décidé d'intégrer le groupe des Pretty sirens. Ça n'a pas été très difficile vu ma personnalité et mon physique. Mon frère va l'intégrer aussi très bientôt, en septembre prochain. Il a un Q.I. aussi élevé que moi et il semble s'être quelque peu calmé. Il était temps! Mais il m'énerve toujours autant. À croire qu'il ne cherche que cela, m'embêter!

Cependant, l'université, il n'y a rien de mieux et j'ai hâte de montrer ce que je vaux. Vous n'avez qu'à bien vous tenir!